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Revue Presse

Le Limogeage de Pape Amadou Sarr et d'autres sujets à la Une

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Revue de Presse
Le limogeage du délégué général à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes, Papa Amadou Sarr, est le sujet le plus commenté par les quotidiens, pour leur édition de ce jour.

Le président de la République a mis fin aux fonctions de M. Sarr, a-t-on appris mercredi du ministre, porte-parole du gouvernement, Oumar Guèye.
 
Le communiqué annonçant son limogeage ne dit pas pourquoi Papa Amadou Sarr a été limogé de ce poste qu’il occupait depuis octobre 2017.
 
Mais la presse explique la décision du président de la République par des propos que M. Sarr a tenus lors de la célébration de la Journée internationale de la femme. 
 
Dans une vidéo virale sur les réseaux sociaux, le délégué général à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes s’exprime avec ‘’une rare arrogance’’, affirme Le Témoin Quotidien.
 
Il a tenu à ‘’fustiger la position de nos soufis sur le fait de donner sa main à une femme autre que la sienne’’, écrit le même journal.

Des ‘’propos polémiques sur les religieux’’ ont valu son limogeage à Pape Amadou Sarr, qui a présenté un bilan ‘’élogieux’’ de la délégation générale à l’entrepreneuriat rapide des femmes et des jeunes, lors de la Journée internationale de la femme.

Selon Les Echos, Papa Amadou Sarr a été emporté par la critique des marabouts.
 
Il ‘’ignorait (…) qu’il fallait tourner sept fois la langue avant d’ouvrir la bouche’’, commente L’As.

‘’Papa Amadou Sarr [a été] emporté par la provocation’’, lit-on dans Bés Bi Le Jour.
 
Les journaux évoquent aussi les revendications des travailleurs de la santé, qui ne sont pas satisfaits de la rémunération de leur travail.
 
Vox Populi annonce une grève générale prévue du 16 au 18 mars, sous l’égide de la Fédération des syndicats de la santé (F2S). 

‘’Si l’Etat ne réagit pas dans les jours à venir’’, il y aura un ‘’boycott des programmes de vaccination’’ et, peut-être, ‘’une grève illimitée’’, rapporte Vox Populi, citant le secrétaire général du Syndicat national des travailleurs de la santé, Souleymane Joe Mané.

‘’Malgré les alertes, les autorités continuent de faire la sourde oreille’’, note WalfQuotidien, reprenant les propos du coordonnateur de la F2S, Cheikh Seck.

‘’Faux alibi’’
 
Certains syndicats d’enseignants, malgré la signature d’un nouvel accord avec l’Etat, continuent à grogner contre ce dernier.

 
Le Syndicat autonome des enseignants du moyen-secondaire et le Cadre unitaire des enseignants du moyen-secondaire ont lancé un message d’avertissement au gouvernement, pour le respect de l’accord signé fin février, selon Sud Quotidien.
 
Ces deux syndicats regrettent de n’avoir pas été associés au réaménagement du calendrier scolaire, ajoute le même journal.
Dans une interview donnée au quotidien Le Soleil, le ministre de l’Education nationale, Mamadou Talla, tente de rassurer les syndicalistes.

‘’Il n’y a aucune ambiguïté sur l’accord signé’’ par l’Etat avec les syndicats d’enseignants, soutient M. Talla.
 
Il loue les efforts fournis par le gouvernement pour la satisfaction des revendications des enseignants et les mesures prises pour rattraper le temps perdu à cause de la grève des enseignants.

Le parrainage des listes de candidature aux élections législatives est l’objet de divergences entre la majorité présidentielle et l’opposition, selon L’info.
 
Les 34.580 parrainages à collecter dans sept des 14 régions du pays par les listes pour être éligibles servent à ‘’assainir le jeu politique, pour éviter toute pagaille électorale’’, soutient Moussa Sarr, un responsable de la Ligue démocratique, l’un des partis membres de Benno Bokk Yaakaar.
 
‘’Aucun acteur ne peut dire qu’il y a eu un consensus sur le parrainage’’, écrit L’info, citant Saliou Sarr, militant d’un parti membre de Yewwi Askan Wi, une coalition de l’opposition.
 
L’Observateur analyse le discours des partisans de Macky Sall, qui tentent de justifier la restauration du poste de Premier ministre – près de trois ans après sa suppression – et le retard de la nomination du chef du gouvernement. 

‘’Le chef de l’Etat (…) n’a toujours pas nommé un Premier ministre’’, fait remarquer le journal, trois mois après la restauration de ce poste.

L’Observateur relève le ‘’faux alibi’’ des partisans de Macky Sall, qui tentent de justifier le retard de la nomination du futur chef du gouvernement.
BHC/ESF


1 Commentaires

  1. Auteur

    En Mars, 2023 (12:17 PM)
    B­o­n­­­j­­­o­u­­­r, j­­e m'a­­­p­­­p­­e­­­lle Alissa, j'ai 21 a­­­ns) Dé­­bu­­­t du mo­­­dè­le S­­­E­­X­­­E 18+) J'a­­ime êt­­re pho­to­­grap­hi­ée n­­­u­­e) V­­e­­u­i­l­­­lez no­­ter me­s phot­­os à l'adr­­esse su­­i­­va­­­nte -- W­­­W­W­­.­­X­2­­1.­­F­U­N id02969319
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